Trois mois qu’ils attendaient de retrouver les joies du volley et un soleil brûlant (35 °C) pour leur souhaiter la bienvenue.
Les conditions climatiques étaient extrêmes : un sable bouillant qui vous attaque la plantes des pieds et vous oblige à les plonger régulièrement dans une bassine d’eau. Touquettois et international français, Édouard Rowlandson avait vécu cette mésaventure l’an dernier en déclarant forfait aux championnats de France : pied brûlé. « C’est un truc de fou, tu sens que le soleil t’agresse, j’ai rarement senti un sol...
June 27, 2020 at 08:36PM
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Au Touquet, pour le volley, c'était chaud, chaud, chaud - La Voix du Nord
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chaud
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